Rupture de la période d’essai dans une entreprise : l’essentiel à savoir

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Après votre diplôme académique ou professionnel, vous êtes appelé à aller à la quête de l’emploi selon un cass entreprise. Mais vous êtes confronté à un d’essai par votre employeur, mais qui au fil du temps ne vous arrange pas. La période d’essai est-elle obligatoire dans une entreprise ? Est-ce possible de faire une rupture de contrat ?

Période d’essai CDI: est-ce une obligation ?

La période de la rupture d’essai de travail CDI est un délai ou une période que l’employeur accorde à son salarié afin de vérifier de quoi celui-ci est capable de faire selon son cass entreprise. Cette période constitue de ce fait un temps d’essai de travail d’embauche pour le salarié.

Cette période permet également au salarié de voir s’il est capable de travailler dans l’entreprise si le contrat est acté. Rien ne vous oblige à signer un tel contrat. La période d’essai est facultative. C’est pourquoi la convention de période d’essai CDI dans une entreprise peut être rompue par l’employeur ou le salarié. Cela ne devrait également pas faire l’objet de licenciement. La durée et les critères de renouvellement doivent être clairs.

Rupture de la période d’essai CDI : quels conseils

Pour la rupture du contrat ou de la période  d’essai CDI dans une entreprise, certaines démarches méritent d’être faites. Il faut donc nécessairement passer par ces points.

Informer sur le délai de prévenance

Lorsque vous sentez l’envie de licenciement ou de changement de statut à un salarié dans votre entreprise, il faut toujours informer ce dernier à l’avance comme recommandé par le code de travail. Il en est de même pour le salarié d’informer son employeur lorsqu’il veut mettre un terme à la période d’essai CDI.

En tant que chef, vous devez informer votre employé de la rupture de sa convention de période d’essai, 24h à l’avance si la présence de ce dernier au travail n’est pas égale à 8 jours. 48 h à l’avance si la présence varie en 8 jours à 1 mois. Un mois, si l’absence a une durée de 3 mois.

Le salarié doit respecter le même délai pour informer son employeur. Le non-respect de ce délai peut amener l’une des parties à dédommager son salarié pour rupture de contrat d’embauche avant la date d’expiration. Parfois il faut signer un CDD (contrat à durée déterminée)

Pas de sanction à appliquer

L’employeur n’a pas de sanction à appliquer après la rupture de contrat de son salarié. Selon le code de travail, ce dernier ne doit en aucun cas subir une sanction comme par exemple le licenciement. Il faut installer un soc pour veiller sur le bon fonctionnement de l’entreprise.Il n’a donc pas besoin de justifier sa décision ni la formaliser. La période d’essai CDI ne doit pas être bafouée.

Respecter le processus de rupture

Il faut toujours respecter le processus de rupture de contrat ou de convention d’essai de travail. Ici, le seul processus à respecter est le délai de prévenance des deux parties. Il n’y a donc pas assez de formalités à remplir pour la rupture de contrat d’essai de travail. Le salarié bénéficie donc d’un certificat de travail, une attestation à pôle emploi et un reçu qui prouve que l’employeur a payé son salarié pour la période d’essai de travail. Après son départ, il faut vérifier à partir de soc pour voir s’il à toujours la main sur les données de sécurité de l’entreprise.

Renouvellement du contrat

Le renouvellement de la période d’essai de travail peut être mis sur tapis lorsque le salarié a eu des absences, des congés de santé ou a formulé une demande de permission ou à signé un CDD qui n’est pas à son terme. À cet effet, les périodes où il était absent ne sont pas comptées. Après son retour, il doit rattraper. Le renouvellement peut intervenir lorsque la période d’essai est épuisée et que le salarié veut une prolongation.